Les gorges du Tarn de Florac au Rozier
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Les gorges du Tarn de Florac au Rozier
Florac Trois Rivières

Les gorges du Tarn de Florac au Rozier

Architecture et village
Eau et géologie
Faune et flore
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Un canyon à découvrir à votre rythme, certaines parties peuvent aussi se faire en canoë, histoire de se reposer les pieds et d'apprécier les gorges depuis la rivière.
Les gorges du Tarn un site que l’on croit connaître ! Le sentier, en rive gauche du Tarn, est une invitation à délaisser tout véhicule et à partir à pied en suivant la rivière, pour découvrir en toute liberté les villages et les paysages de ce canyon.

Les 19 patrimoines à découvrir

  • Histoire

    L’ancienne gare et le pont en fer

    Cette gare était le point de départ de la ligne Florac - Ste Cécile d’Andorge. Exploitée de 1909 à 1968 par les Chemins de Fer Départementaux (CFD), cette voie reliait la sous-préfecture Lozérienne à la ligne St. Germain des Fossés/Nîmes qui désenclavait les Cévennes. Aujourd'hui elle renaît comme Voie verte "La Cévenole".  Le pont traversant le Tarnon, construit en 1890 sur le modèle Eiffel, fut un des premiers ouvrages métalliques réalisés à cette époque.
  • Eau

    Le Tarnon et ses rives

    La préservation de la végétation des rives, riche en habitats rares est un enjeu majeur qui justifie un classement d’intérêt européen « Natura 2000 ». Présents sur le Tarnon, la Loutre et le Castor d’Europe, de mœurs crépusculaires et nocturnes restent difficiles à observer. Le poisson est l’aliment de base de la Loutre, le Castor se nourrit des saules croissant sur les berges. La ripisylve, formation boisée ou arbustive occupant les rives, contribue à la biodiversité et limite l’érosion des berges, car lors des épisodes cévenols, les crues peuvent atteindre 6 mètres de hauteur.
  • Histoire

    Esplanade

    Le passage sous le porche de la sous-préfecture est l'un des nombreux passages couverts qui se faufilent sous les maisons : vous venez de traverser les anciens remparts de Florac et vous vous trouvez à l'intérieur de la ville médiévale. Outre ses beaux platanes centenaires (les plus âgés ont 200 ans) vous y trouverez d’un côté, la statue de Léon Boyer, collaborateur de Gustave Eiffel avec qui il a construit le viaduc de Garabit, mort au Panama en 1883 où il travaillait au percement du canal ; de l’autre, le temple protestant et le monument aux morts.

  • Histoire

    Planet

    Aux XVIe et XVIIe siècles, de nombreux troubles religieux opposant catholiques et protestants ont affecté les Cévennes, causant maintes destructions. Après la signature de la paix d’Alais (juin 1629) entre Richelieu et le duc de Rohan, les protestants conservent le droit de pratiquer leur religion mais leurs fortifications sont détruites. C’est le cas des remparts de Florac. La maison où est installée le panneau est l'une des plus anciennes de Florac : sa tour surveillait la porte du Thérond. C’est aussi le carrefour entre l’ancienne route de Nîmes à Saint-Flour et l’ancienne route de Florac à Séverac par le Causse.

  • Géologie

    L'eau ferrugineuse de Salce

    Après un petit détour du hameau de Salièges jusqu'auTarn, on trouve une source d'eau ferrugineuse. On a longtemps attribué à cette eau, riche en ion Fe2+, rendu célèbre par le sketch du comédien Bourvil, le mérite de prévenir (ou guérir) l'alcoolisme.Elle apporterait le fer qui vient habituellement d'une consommation régulière d’alcool. Un léger bâti signale la source de Salce (chemin balisé l'indiquant depuis Salièges), ainsi que des colorations rouges dues à la présence d'oxyde de fer que l'on retrouve à de nombreux contacts entre schiste et calcaire.

  • Architecture

    L’église d’Ispagnac

    L’église Saint-Pierre d’Ispagnac est un des plus beaux exemples d’architecture romane en Gévaudan. Datant du XIIe siècle, elle est dédiée à Saint-Pierre et Saint-Paul. D’une architecture très sobre sur la façade extérieure, avec un portail simple à trois voussures en plein-cintre surmonté d’une rose qui éclaire la nef, l’ensemble paraît massif. Mais une fois à l’intérieur, vous découvrirez une architecture simple et aérée. Un son et lumière vous invite à la découverte. Afin d’apprécier au mieux cette architecture, il vous faut sortir de l’édifice et le contourner pour découvrir le chevet et le décor qui le compose.
  • Agriculture

    Les vignerons d’Ispagnac

    En 2003, le savoyard Sylvain Gachet réintroduit les vignes à Ispagnac et Florac, sur six hectares de terrasses. Sur des terrains argilo-calcaires ou de schiste, il tente la réimplantation du Domaine de Gabalie. En 2006, Elisabeth Boyé et Bertrand Servières s’installent comme vignerons dans les Gorges du Tarn, toujours dans le cadre du projet de relance de la vigne sur ce site. Les ronces ou « bartas » qui ont envahi presque tous les terrains sont nettoyés. Les murs en pierre sèche sont reconstruits. Des amandiers, pêchers de vigne et cinq hectares de vignes sont replantés : le Domaine des Cabridelles voit le jour. Les vignerons partagent la même cave coopérative à Ispagnac, qui sert aussi de point de vente. Un petit arrêt s’impose pour déguster les vins (la cave viticole se situe au niveau du parking de l'école publique)
  • Architecture

    Le pont de Quézac

    Il permet d'enjamber le Tarn et de rejoindre le village de Quézac situé sur la rive gauche. Vers 1350, le pape Urbain V décide de financer sa construction afin de faciliter l'accès des pèlerins à la collégiale Notre-Dame de Quézac. Sa construction s'achève au cours du XV° siècle. Son histoire est jalonnée de destructions partielles par les crues, de reconstructions plus ou moins solides. Il est classé monument historique le 27 août 1931.

  • Eau

    L'eau de Quézac

    L'eau minérale de Quézac jaillit naturellement de la source Diva, à l'entrée du village, dans un environnement exceptionnel, naturellement protégé depuis des siècles. Cette eau au goût agréable, riche en sels minéraux et oligo-éléments, est également réputée pour son action bienfaisante sur l'estomac. La source vient en fait du mont Aigoual et met, selon des études scientifiques, de 30 à 40 ans pour rejaillir à Quézac, après s'être déposée dans les nappes et s'être chargée en gaz naturel (ce qui est rare en France).

  • Architecture

    Le château de Charbonnières.

    En aval du village de Montbrun, assis dans une boucle du Tarn, se dresse le château de Charbonnières. Si ce castel a perdu quelques-uns de ses éléments défensifs, il n’en conserve pas moins un caractère chevaleresque et des traces de nombreux épisodes historiques de la vallée du Tarn. Il est mentionné dès le XIIIe siècle. Son rôle défensif était étroitement lié à tout un « système fortifié » comprenant depuis Ispagnac : Quézac, Javillet, La Roche, Rocheblave, Montbrun, Castelbouc, Prades et Ste-Enimie.

    Le château est composé de trois corps de logis rectangulaires disposés en fer-à-cheval autour d’une cour centrale. La façade tournée vers le Tarn présente une tour carrée dominant la rivière. L’accès à la cour intérieure se fait par un portail en plein-cintre. De la cour, on peut monter à une chapelle par un escalier en pierre, le montant de la porte étant décoré de fleurs de lys. L’intérieur modeste est caractérisé par une voûte à croisée d’ogives encadrant une clef de voûte aux armes de la famille de Montesquiou, seigneurs de Charbonnières depuis le XIIIe. Les autres parties du logis offrent de très belles cheminées, un escalier monumental et de belles salles voûtées. Au XVIIe et XVIIIe siècles il passe dans les possessions de la famille de Volonzac Malespina et au XIXe dans celles de la famille Boutin. Cet édifice ne se visite pas.
  • Eau

    La résurgence de Castelbouc

    L’énorme résurgence à l’entrée du hameau a quatre exutoires, dont un à l’arrière. Ces bouches d’où surgit l’eau en période de fortes pluies confortent la traduction de « bouc » par « bouches » en occitan. Toutes les résurgences sont alimentées par un bassin versant, plus ou moins important. Ici, son bassin versant correspond, sur le plateau du causse Méjean, au secteur de l’aven du Pic de l’Usclat, l’aven du Loup (Cros garnon), l’aven du Crapaud (Fretma).
  • Histoire

    L’étrange légende de Castelbouc

    À vous d’en juger…
    L’étymologie de Castelbouc est « castel blanc », en occitan « perché sur le rocher ».
    La légende raconte qu’au temps des croisades, le seigneur du château était resté seul de son sexe, parmi ses sujets. Dans ce petit hameau fait d’habitations accolées à la falaise, les visiteuses étaient nombreuses et ce seigneur tenait à satisfaire tous leurs désirs… Malheureusement la croisade dura si longtemps qu’il ne put tenir jusqu’au bout. Lorsque son âme s’envola, on vit alors planer sur la tour du château un énorme bouc… Depuis lors, on entend la nuit sur ces sommets, un bêlement suivi d’étranges murmures. De là, viendrait le nom de Castelbouc…

  • Faune

    Le castor

    Preuves de mon passage, un arbre taillé en forme de crayon, des morceaux d’écorces, des copeaux de bois, un amas de branches dans l’eau, des empreintes de pattes avant ou arrière dans le sable, je suis… je suis le castor d’Europe. Je vis à proximité de l’eau. Je suis surtout actif la nuit, parfois au lever du jour et à la tombée de la nuit, si je ne suis pas dérangé. Entre le Moyen Age (XIe siècle) et le XIXe siècle, nous avons connu une période difficile durant laquelle nous étions chassés par l’homme pour notre chair, notre fourrure et nos nuisances. Au début du XXe siècle, nous avions disparu de nombreuses régions de France. Aujourd’hui cela va mieux, nous sommes présents le long du Tarn.
  • Histoire

    Saint-Chély du Tarn

    Saint-Chély-du-Tarn réunit les trois conditions idéales pour l'implantation d'un village: des sources puissantes, des matériaux de construction (Tuf) à prélever sur place et surtout un chemin le reliant au causse Méjean. Tous les hameaux des gorges sont reliés au causse par un sentier. Plus ou moins aménagés, au fil du temps, parfois caladés, consolidés par des murets, ces chemins de liaison favorisaient les échanges de marchandises.
  • Histoire

    Le château de La Caze

    Ce château fut construit en 1489, en guise de cadeau de mariage, pour Soubeyrane d'Alaman, nièce du Prieur de Sainte-Enimie. Flanqué de ses quatre tours, il est aujourd'hui une hostellerie. La tradition lui attribue une légende grivoise, celle des huit filles d'un autre occupant. Belles et coquines, elles prônaient le marivaudage et l'amour libre. On dit que "leurs âmes sont condamnées à errer et gémir chaque nuit, dans ces gorges sombres, faute de n'être rassasiées".
  • Histoire

    Hauterives

    Le hameau est bâti en amphithéâtre, au dessus du moulin (ruines), afin d'économiser les terres cultivables. Le moulin était un endroit convivial et le lien économique essentiel entre le causse et la vallée. On y échangeait le grain du plateau contre les légumineuses, le raisin et les amandes cultivés sur les terrasses bien exposées encore visibles. Le moulin et le barrage furent emportés par la crue centennale de 1900. Lors de l'ouverture de la route en 1905, Hauterives refusa la construction d'un pont. Actuellement, une benne sur câbles permet le transport des marchandises et autres. Pour les habitants, l'accès se fait par barque.
  • Histoire

    Les bateliers de La Malène

    « La Malène » signifie « mauvais trou »... Mais depuis quelques décennies, il convient plutôt de parler de petit bijou faisant la joie des touristes. Grâce à quoi ? Aux barques qui, jadis, avaient un rôle strictement utilitaire, lorsque le Tarn servait de voie de communication et d'échanges. Le 29 décembre 1952, la Société coopérative des Bateliers des gorges du Tarn est officiellement créée. En 1985, la coopérative devient une Société coopérative ouvrière de production (SCOP). Au fil de l'eau, les bateliers vous font découvrir des sites qu'on ne peut approcher et voir qu'en barque, comme la Grotte de la Momie,  ou la Dame à l'ombrelle au-dessus de La Croze. Voilà au moins deux bonnes raisons de s’offrir ce voyage au fil de l'eau, en compagnie des bateliers de La Malène.

  • Histoire

    Petite anecdocte

    " Traditionnellement, le premier dimanche de juillet, se déroule dans le bourg une course de côte. Les premières courses de côte étaient des courses de chèvres. Marthe rassemblait ses chèvres au pont, grimpait seule la côte de La Canourgue puis les appelait de là-haut. Les chèvres accouraient. La gagnante avait droit, comme récompense, à un odorant bouquet de "bartas" (buis)." (M.P Leroy-Delmer)

  • Histoire

    Chapelle

    " À 300 m du village, les ruines du château de Planiol surplombent une zone plane de la rivière, ou "planiol". À cet endroit, la rivière accuse 8 m de profondeur. Puis apparaît l'église romane du XIIe s, probablement édifiée sur l'emplacement d'un oratoire carolingien. Une "chapelle expiatoire" a été ajoutée, renfermant les restes des martyrs de La Malène. Une autre chapelle est occupée par une vierge debout sur une barque. Elle sort chaque mois de mai pour le pèlerinage des bateliers. Quant au pont, il fut construit en 1856, en lieu et place d'un ancien gué où passe la draille de l'Esperelle. À cause de sa faible hauteur, il ne résista pas aux crues dévastatrices de 1875 et 1900." (M.P Leroy-Delmer)


Description

Jour 1 : Florac - Ispagnac 10 km, 330 m +
Jour 2 : Ispagnac - Sainte-Enimie 17,5 km, 433 m +
Jour 3 : Sainte-Enimie - La Malène 14,2 km, 686 m +
Jour 4 : La Malène - Les Vignes 12,7 km, 592 m +
Jour 5 : Les Vignes - Le Rozier 12 km, 435 m +

Proposition pour trois jours : jour 2, jours «3+4 », jour 5, avec possibilité d’écourter l’étape Ispagnac/La Malène, en faisant la descente en barque avec les bateliers de la Malène : +33 (0)4 66 48 51 10 (réservation et information).

1- Florac à Ispagnac / 10 km, 330 m + : GR®736     
De la place de l'Esplanade, prendre la rue du Thérond, puis l'avenue du 8 mai 1945 en direction du hameau de Salièges. À la sortie du village de Salièges, continuer sur la piste carrossable pour rejoindre Ispagnac en passant par les petits hameaux qui  se suivent : Salièges, Le Fayet, Bieisses, Bieissettes.

2- Ispagnac au Pont de Montbrun / 7,2 km, 188 m+ : GR®736
Descendre la rue des Barrys vers les camping, longer le Tarn, franchir le pont, et traverser entièrement Quézac. Après le village, continuer pendant 1,5 km sur une petite route pour reprendre le sentier. Parfois en surplomb, parfois sur la berge, le sentier s’enfonce dans le canyon, dépasse le village perché de Montbrun pour rejoindre le pont de Montbrun qui enjambe le Tarn.

3-Pont de Montbrun à Castelbouc / 3,3 km, 124 m+ : GR®736
Suivre la petite route en rive gauche. On passe au-dessus du manoir de Charbonnières pour rejoindre un peu plus loin un des sites les plus curieux des gorges, le hameau de Castelbouc, blotti sous la roche.

4- Castelbouc à Sainte-Enimie / 7 km, 121 m+ : GR®736
Traverser le hameau, à la place du four à pain prendre la ruelle à droite et après le petit pont prendre à droite le sentier qui rejoint la berge. Un bout de balade à l'ombre de grands arbres où le château de Prades s'offre à la vue. Le paysage se resserre encore avant de déboucher sur le village médiéval de Sainte-Enimie.

5- Sainte-Enimie à Saint Chély-du-Tarn / 5 km, 277 m+ : GR®736
Traverser le pont, direction Meyrueis. Prendre à gauche devant l’hôtel, puis à gauche la rue qui monte vers les villas, puis surplombe et rejoint la D 986. 250 m après avoir repris la route prendre à droite le chemin. Dès qu’on quitte Ste-Enimie, le sentier s’élève, passe au-dessus de falaises puis redescend en lacets jusqu’au village de Saint-Chély-du- Tarn.

6- Saint-Chély-du-Tarn à La Malène / 9,2 km, 409 m+ : GR®736
Prendre la rue qui monte vers le Causse et, après l’épingle, au croisement, prendre à droite. Le sentier démarre par un parcours en corniche, puis il redescend bord de rivière. Rive droite, vue sur le hameau semi-troglodytique et le cirque de Pougnadoires. Il remonte est passe une barre rocheuse, redescend au niveau du château de La Caze, puis continue en surplomb jusqu'à Hauterives. Encore un passage au-dessus d'une falaise et l'arrivée sur La Malène se fait en longeant le Tarn.
/!\ Depuis la dernière crue de la rivière, la partie du sentier proche du Tan entre Hauterives et La Malène (3 km) est ensablée et la berge fragilisée. Restez vigilant.

7- La Malène aux Vignes/ 12,7 km, 592 m+ : GR®736
Au pont prendre à droite la piste carrossable sur 3,5 km, puis le sentier. La Malène est dominé par une falaise où de grandes traînées noires marquent le rocher. Le village est célèbre pour ses bateliers qui perpétuent la descente en barque traditionnelle de la partie la plus étroite du canyon. Jusqu'au village des Vignes, le sentier croise un seul hameau (La Croze, propriété privée). C'est la partie la plus célèbre du canyon avec des paysages spectaculaires : les détroits, le cirque des Baumes, le pas de Souci. (La Malène - le cirque des Baumes avec les bateliers, 8 km sur la rivière en se laissant conduire. On peut récupérer le sentier des gorges du Tarn, les bateliers vous expliqueront comment le rejoindre).

8- Les Vignes au Rozier / 12 km, 435 m+ : GR®736
Prendre la route du causse Méjean et après 800 m, le chemin à droite. Au départ, la vue est magnifique sur l'enfilade des corniches des causses Sauveterre et Méjean. Toute la balade est dominée par les falaises qui cachent à leurs pieds des hameaux semi-troglodytiques (vue sur St-Marcellin et Eglazines, rive droite). Le sentier passe au-dessus de la Sablière, hameau à l'architecture typique (un panneau indique si on peut le visiter) et rejoint le Rozier par un chemin plus facile.
  • Départ : Florac
  • Arrivée : Le Rozier
  • Communes traversées : Florac Trois Rivières, Gorges du Tarn Causses, Ispagnac, La Malène, Massegros Causses Gorges, Saint-Pierre-des-Tripiers et Le Rozier

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

(/!\ attention aux périodes de crues du printemps et de l’automne : renseignements auprès de l’office de tourisme ou sur www.vigicrues.gouv.fr (territoire Garonne-Tarn-Lot / Haut Tarn-Montbrun).
Adaptez votre équipement aux conditions météo du jour. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante, de bonnes chaussures et un chapeau. Refermez bien les clôtures et les portillons.


Lieux de renseignement

Maison du tourisme et du Parc national, Florac

Place de l'ancienne gare, N106, 48400 Florac-trois-rivières

https://www.cevennes-gorges-du-tarn.cominfo@cevennes-parcnational.fr04 66 45 01 14
La Maison du tourisme et du Parc national des Cévennes est installée dans le bâtiment renové de l'ancienne gare en bordure de la N106. C'est un espace , d’accueil, d'information et de sensibilisation sur l'offre de découverte du territoire, ainsi que sur les règles à adopter en cœur de Parc, mutualisé entre les équipes de l'office de tourisme et du Parc.
Une expo interactive présente le Parc national des Cévennes et ses actions. 

Sur place :  Une boutique, librairie découverte et  produits siglés PNC.
Ouvert toute l'année (se renseigner sur les jours et horaires en saison hivernale).
En savoir plus

Transport

Ligne de bus Florac-Mende
Ligne de bus quotidienne toute l’année, du lundi au samedi matin (sauf jours fériés)
https://www.cevennes-gorges-du-tarn.com/bus-ales-florac-mende
Ligne de bus Florac-Ste-Enimie-Le Rozier, juillet et août, tous les jours
https://img-scoop-cms.airweb.fr/uploads/sites/21/258-FLORAC-LE-ROZIER.pdf
Ligne de bus Alès-Florac (réservation obligatoire pour un départ d’Ispagnac) société Boulet : +33 (0)4 66 65 19 88
Ligne de bus quotidienne sauf les dimanche et jours fériés, du 15 avril au 31 octobre.
https://fr.calameo.com/read/003034667749796fd341f
Ligne de bus Meyrueis-Le Rozier-Millau, juillet et août
hhttps://img-scoop-cms.airweb.fr/uploads/sites/21/257-MILLAU-MEYRUEIS.pdf
Ligne quotidienne toute l'année. Horaires différents en fonction des périodes scolaires et non scolaires.
Ligne 215 Autocars Causse : + 33 (0)6 65 61 24 16


Accès routiers et parkings

N 106 Florac

Stationnement :

3 parking à Florac : ancienne gare, François Mitterrand, église

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