Sur les pas des gens d'ici (4 jours)
Lanuéjols

Sur les pas des gens d'ici (4 jours)

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Un voyage sans voiture… La traversée du massif de l’Aigoual avec son sac à dos pour vivre une aventure unique. Petits châteaux, belles demeures dans les bourgs, l’église de Dourbies, observatoire de l’Aigoual, falaises et gorges profondes. Tout sera émerveillement, je vous le promets…
Un parcours de 50 km dans un paysage dessiné, façonné par l’homme depuis des temps très lointains. Un hameau par ici, un village par là… ces petites vies qui racontent les petites histoires locales, des mines creusées par des étrangers, des murets bâtis jusqu’en haut de la montagne, des routes construites dans des lieux escarpés…
4 jours pour s’imprégner des lieux et vous donner un souffle nouveau…

Les 20 patrimoines à découvrir

  • Histoire

    Espinassous et son château

    Voici le plateau d'Espinassous et son château datant du XVe siècle. Il n'a plus qu'une seule tour car la seconde à fait comme l'âne, elle aurait roulé dans le ravin au bord duquel elle se dressait.
    La cour du château est magnifique avec ses anciennes dépendances agricoles que l'on voit à travers le portail, du bord du chemin. Ces bâtiments sont caractéristiques de l’architecture caussenarde : lourdes toitures de lauzes calcaire, façades flanquées de contreforts, ouvertures étroites, réalisées dans les voûtes en berceau brisé.
    Le hameau se trouve dans une plaine agricole en bordure de falaise.
  • Histoire

    Trèves

    Du Chasséen (Baume Lairoux, la Verrière....), Tabrî, le "village près de l'eau", Ibère, passage commercial entre Gabales et la Côte avec les Volques Arécomiques, orné d'un pont en bois par les Romains, occupé par les Wisigoths ariens, puis les Francs nicéens, est détruit par les Musulmans vers 730. Renaissance Carolingienne avec le pont roman puis fidélité aux rois de France qui lui vaut sa charte consulaire du XIVe siècle et la cloche sur l'église restée catholique. Trèves a des chènevières au XVIIe siècle où les toiles de chanvre alimentent les draperies de Lodève. Sa fromagerie de bleus de brebis, sa mine de plomb argentifère et ses faïsses d'amandiers et de lentilles appartiennent au passé. Reste le Pétassou. (M MOULINIER, historien)
  • Histoire

    Trèves

    La place était un cimetière antique. Trèves viendrait du gaulois trebo, village pour certains, déesse des eaux celtique pour d'autres. Ou peut-être de trivium qui signifiait carrefour... C'est d'ailleurs une voie antique importante qui passe sur le pont roman du Trévezel, restauré au XVIIIe siècle. Une autre hypothèse est possible si on se réfère au dictionnaire de Boissier de Sauvages (1820), pour qui Treva ou Trebo définit en occitan les revenants et les fantômes. Vous serez peut être tentés par cette version, quand vous connaîtrez l'histoire de la grotte du Pas de Joulié décrite plus loin !  (B. Mathieu)

  • Savoir-faire

    Le buis (Buxus)

    Le buis et l'homme, une histoire relationnelle ! Avec l'amplification de l'élevage, la chênaie primitive s'ouvre et le buis s'installe partout, résistant à la dent du mouton. L'homme lui découvre une qualité majeure: fragmenté avant d'être épandu sur la terre, cette litière protège les plants potagers de la sécheresse et du gel. Ses feuilles suppléent à l'insuffisance de paille pour l'engrais des terres labourables. En 1818, un arrêté préfectoral gardois s'inquiète du défrichement abusif de la buxaie et de son arrachage désordonné, sans outil adéquat. On rencontre des mules chargées d'énormes fagots, jusque vers 1910, quand la chimie prend le relais... (B. Mathieu)

  • Paysage

    Les gorges de Dourbies

    Le sentier débouche sur les gorges de la Dourbies. Face à vous, la partie occidentale du haut plateau granitique du Lingas rejoint à droite le causse du Larzac, calcaire. Vous apercevez sur la droite, le dôme granitique du Saint-Guiral. Plus près de vous, dans les vallons qui convergent vers la Dourbies, s'étagent les emplacements des anciennes cultures en terrasses, les pâturages, le village implanté en bordure de rivière, dans la partie évasée de la vallée, et enfin la châtaigneraie. Vous pouvez observez sa limite supérieur de répartition qui correspond à sa limite altitudinale de zone (800 m).
  • Paysage

    Col du Suquet

    Vous vous trouvez au point le plus élevé de la promenade. Rive droite de la Dourbies, le versant abrupt que parcourt le sentier est constitué alternativement de zones où le granite est massif et d'autres où il est décomposé en arène (sable grossier issu de l'altération du granite). Vers le sud, on découvre un panorama englobant la totalité du massif du Lingas, haut plateau boisé surplombant au sud le Viganais et la plaine languedocienne.
  • Agriculture

    Le lavoir des Monts

    Le lavoir des Monts coule encore mais les lavandières ont bel et bien disparu. Le site est magique. L'eau est claire, propice à la ponte des libellules et à désaltérer les oiseaux.
  • Histoire

    Le chemin des Morts

    Au Moyen Age et jusqu'en 1870, le village catholique de Camprieu n'avait pas d'église, ni de cimetière. Les habitants se rendaient ainsi au hameau de Saint Sauveur de Pourcils. Pour transporter leurs défunts jusqu'à ce cimetière éloigné, il fallait emprunter « le chemin des Morts ». Le cercueil était porté à dos d'homme et à chaque lieu de pose, on récitait la prière du « de profundis ». Les cortèges mortuaires ont cessé d’emprunter ce chemin à l'été 1872. Cette année-là, le village de Camprieu s’est enfin doté de son propre cimetière. Mais il a gardé son nom d'antan : « le sentier des Morts ».
  • Histoire

    Camprieu

    Au XIXe siècle, les rues du village étaient animées toute l'année par un petit peuple d'artisans, d'ouvriers et de commerçants, qui vivaient dans ces humbles maisons de montagne, propices à l'élevage. Camprieu comptait donc : 2 cordonniers, 6 sabotiers, 2 vanniers, 1 menuisier, 2 charrons, 2 maréchaux ferrants, 1 minotier, 2 tailleurs de pierres, une verrerie, une scierie, une laiterie, deux épiceries, mercerie et quincaillerie et une boutique pour les dames à l'enseigne « modes et robes ». Il y avait également une cave qui fabriqua du Roquefort jusqu'en 1932, un hôtel et une auberge.
  • Eau

    Le ruisseau du Bonheur

    Le site de Bramabiau est un exemple de résurgence. Ici, un peu à l'est de Camprieu, le ruisseau du Bonheur perfore le Causse et disparaît dans un tunnel naturel. On le retrouve à l'air libre au fond de l'Aven de Balset mais il se tord vers le sud pour disparaître à nouveau sous terre. Le ruisseau parcourt en sinuant plus de 10 km de galeries souterraines. Mais à 700 m à l'horizontale de sa perte, il resurgit ! Les parois du canyon qui l'enserre démultiplient le son de ses flots et ajoutent à ses grondements des vibrations acoustiques proches d'un mugissement phénoménal. Ce n'est plus le Bonheur tranquille, c'est le tumultueux Bramabiau.

  • Histoire

    Col de la Croix de Fer

    Au col de la Croix de Fer, croisement stratégique de plusieurs voies, une auberge-relais d’affenage accueillait les voyageurs. Cette magnifique ruine avec ses deux voûtes imposantes était aussi une importante ferme, propriété du baron de Roquedols. Elle se situe à la limite des communes de Meyrueis et de St Sauveur-Camprieu sur le tracé du « Camin Ferrat » et de la route Royale. Au temps des persécutions religieuses, le prédicant François Vivens* organisait des assemblées protestantes clandestines dans le vallon juste en contrebas des bâtiments.  (*Vivens a été tué en 1692, 10 ans avant la guerre des Camisards)
  • Eau

    Zone humide

    Écoute ! On entend de l’eau !
    Au-dessus du chemin, l’eau s’écoule doucement... C’est une zone humide, un espace fragile à protéger. La tourbière est constituée de joncs, de laîches et de nombreuses mousses, comme la sphaigne. Une grande quantité d’insectes y logent, comme le criquet ensanglanté et des libellules, ainsi que la grenouille rousse. Ici, si nous ne faisons pas de bruit, nous pouvons entrevoir des biches et d’autres animaux qui viennent se rafraîchir…
  • Histoire

    Des chanoines à la route Royale

    Avez-vous remarqué que nous étions sur un très ancien chemin ?
    Replongeons-nous dans l’histoire… Vers l’an mille, cette route appelée « Camin Ferrat » était utilisée par les transhumants, les pèlerins et les marchands entre Meyrueis et le Vigan. Son tracé partant du Vigan passait à Mandagout, l'Espérou, le col de la Serreyrède et descendait par l'abbaye du Bonheur pour remonter à la Croix de Fer avant d’atteindre Meyrueis. Cette importante voie muletière permettait des échanges entre la Méditerranée et le Massif Central. Le baron de Roquefeuil, seigneur de la région, aménagea une abbaye en contrebas, dans la vallée du Bonheur, pour secourir les voyageurs perdus dans la montagne. A la fin du XIe siècle, il fonda une communauté religieuse de 6 chanoines qui assuraient des offices et qui, par mauvais temps, sonnaient la « cloche des égarés » à heures régulières pour guider les passants en péril. L’abbaye fût abandonnée en 1790.  Au XVIIIe siècle, le « Camin Ferrat » fut délaissé au profit de la route Royale que nous suivons depuis le col de la Caumette jusqu’à Meyrueis. Ce nouveau tracé passait au col de la Serreyrède et continuait jusqu'au col de la Caumette pour suivre ensuite les crêtes. Ce mur que nous longeons entre la Caumette et la Croix de Fer est-il un vestige de la route Royale ? Ou bien la limite du domaine de l’abbaye du Bonheur ? Le secret reste entier, nos ancêtres seulement connaissent cette histoire…
  • Histoire

    La route du sel

    La Caumette se trouve sur une ancienne route du sel. De l'antiquité à nos jours, le sel fut une marchandise précieuse, servant à la conservation des aliments et au tannage des peaux. Le sel a toujours fait l'objet de commerce et de taxes lors de son transport entre le littoral méditerranéen et l'intérieur des terres.La guérite au col, bâtie au XVIe ou XVIIe siècle, fut construite sur une de ces routes à la jonction stratégique de plusieurs chemins, pour la perception de la "gabelle" et la surveillance de la contrebande.
  • Milieu naturel

    Le hêtre et la forêt de l’Aigoual

    Le hêtre constitue la principale essence de la forêt de l’Aigoual, riche par ailleurs de nombreuses espèces adaptées à la diversité des sols et des expositions du massif. Comme chez la plupart des feuillus, lorsqu’on coupe le hêtre, la souche émet de nombreuses nouvelles tiges ou « rejets ». Le forestier sélectionne alors les meilleures pour du bois d’œuvre qui sera transformé en meubles, et exploite les autres en bois de chauffage. En vieillissant, il peut atteindre des dimensions remarquables, comme le hêtre de la forêt du Suquet sur la commune de Camprieu, souvenir de la forêt initiale qui a traversé les siècles, avec 6 mètres de circonférence et 25 mètres de hauteur !
  • Flore

    Sommet de l'Aigoual

    À 1 565 m d’altitude ici, le climat est rude : les conditions sont les mêmes qu’à 2 000 m ailleurs, avec seulement quatre mois « hors gel ». Le vent est supérieur à 60 km/h 265 jours par an, et la température moyenne annuelle est de 4,8°C. Les arbres n’ont pas le temps d’accomplir l’ensemble de leur cycle vital. On retrouve donc ici les formations végétales des zones de montagne : celles des pelouses à caractère subalpin.

  • Histoire

    L’observatoire météorologique

    Inauguré en 1824, l'observatoire météorologique a été construit à l'initiative de Georges Fabre, l'un des pionniers du reboisement de l'Aigoual. Son travail avec le botaniste Charles Flahaut a permis la création de l'arboretum de l'Hort de Dieu. Les premiers relevés météorologiques étaient effectués par les agents des Eaux et Forêts (actuel ONF). Depuis 1943, l'observatoire est géré par l'Office National Météorologique. Il est le dernier observatoire de montagne habité en permanence.
  • Agriculture

    Pâturage

    Ce paysage pastoral a été déboisé par l'homme pour les besoins de l'élevage. Entre 800 et 900 m d'altitude apparaissent déjà des résineux et des arbrisseaux de l'étage montagnard: pins sylvestres, épicéas et myrtilles. Les genêts purgatifs à floraison jaune qui envahissent certaines zones résultent de l'abandon progressif des pâturages. Les pâturages de l'Estivel et de Cazalis sont encore utilisés par des troupeaux de brebis. Au milieu du XIXe siècle, les premiers reboisements du massif de l'Aigoual ont créé des tensions entre agriculteurs et forestiers car ils obligèrent à modifier les pratiques pastorales. Les bergers devaient empêcher les troupeaux de manger les jeunes arbres, entre autres sur les terrains communaux où ils pâturaient auparavant. Depuis, l'ONF n'effectue plus de reboisement ni sur les pâtures, ni sur les terrains agricoles et est favorable au pâturage des troupeaux dans la forêt, limitant ainsi les risques d'incendie.

  • Flore

    Étage méditerranéen

    Le début de l'itinéraire chemine à l'étage du chêne vert. Ce dernier occupe normalement le versant méditerranéen où il abonde jusqu'à 500 m. Ici il a été supprimé au profit de terrasses de culture. De part et d'autre du chemin bordé de hauts murs et muni de marches qui accèdent à des jardins, on voit ces terrasses maintenant envahies ou plantées de résineux. Présents également, la bruyère arborescente et l'arbousier sont, comme le chêne vert, des espèces typiquement méditerranéennes. Les plantes de cet étage sont xérophiles, c'est-à-dire, qu'elles recherchent les milieux secs auxquels elles sont bien adaptées grâce à leurs feuilles réduites et vernissées qui limitent l'évaporation de l'eau.

  • Histoire

    Valleraugue

    Valleraugue viendrait de "vallis eraugia", la vallée de l'Hérault. Avec 7 834 hectares, cette commune s'étend de la vallée de l'Hérault au sommet de l'Aigoual. Située sur une voie de communication importante entre les garrigues et le haut pays, Valleraugue a compté jusqu'à 4 192 habitants en 1851. Voici à peine un siècle, en 1907, l'abbé Fesquet écrit dans sa monographie sur le village: " La population n'est plus que de 2 500 âmes. Il fut un temps où il était difficile de se loger, dit une délibération municipale de 1773. De nos jours, les logements abondent....". Au recensement de 2007, la population s'élève à 1 081 habitants.


Description

- Jour 1 :
Lanuéjols – Dourbies, par le village de Trèves : 17,200km (balisage Jaune)
- Jour 2 :
Dourbies – Camprieu, par le hameau de Monts, St Sauveur puis Camprieu, 13 km (balisage jaune + GR®)
- Jour 3 :
Camprieu - Sommet de l’Aigoual, par le Col de la Caumette : 11km (balisage Jaune + GR®).
- Jour 4 :
Sommet de l’Aigoual – Valleraugue :  8,5 km (balisage jaune)
  • Départ : Lanuéjols
  • Arrivée : Valleraugue
  • Communes traversées : Lanuéjols, Trèves, Dourbies, Saint-Sauveur-Camprieu, Meyrueis, Val-d'Aigoual et Bassurels

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

Adaptez votre équipement aux conditions météo du jour. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante, de bonnes chaussures et un chapeau. Bien refermer les clôtures et les portillons.

Où dormir :
Lanuéjols : Hôtel Bel Air  04 67 82 72 78 herve.maille30@orange.fr www.hotel-restaurant-belair.fr
Dourbies : Auberge de Dourbies 04 67 82 70 88 – 06 75 43 35  aubergededourbies@wanadoo.fr Dourbies : Gîte d’étape communal "Le P’tit Dourbien" 06 16 08 92 60
Maison multi services 07 88 85 89 35 – 04 67 65 57 31 multiservices.dourbies@gmail.com
Camprieu : le Pont du Moulin 06 89 02 15 31 lepontdumoulin30@gmail.com
Sommet de l’Aigoual : www.stationaltiaigoual.com
Valleraugue : Gîte d'étape "la Coconnière de  Valleraugue" 06 81 85 33 51 - 04 67 73 21 30
Chambres d'hôtes : sudcevennes.com

Lieux de renseignement

Maison du tourisme et du Parc national des Cévennes, La Serreyrède

Col de la Serreyrède, 30570 Val d'Aigoual

https://www.sudcevennes.comoffice-du-tourisme-causse@wanadoo.fr04 67 82 64 67

La Maison de l'Aigoual abrite l'office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes et la maison du Parc national. C'est un espace d’accueil, d'information et de sensibilisation sur le Parc national des Cévennes et ses actions, sur l'offre de découverte et d'animation ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc.
Sur place : expositions temporaires, animations au départ du site et boutique

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Accessibilité :
Accessible aux personnes à mobilité réduite sur les trois niveaux du bâtiment (ascenseur)

Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes, Saint-André-de-Valborgne

les quais, 30940 Saint-André-de-Valborgne

https://www.sudcevennes.comvallee.borgne@wanadoo.fr04 66 60 32 11

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animation ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc.

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Office de tourisme Mont Aigoual Causses Cévennes, Valleraugue

7 quartier des Horts, 30570 Valleraugue

https://www.sudcevennes.comoffice.tourisme.valleraugue@wanadoo.fr04 67 64 82 15

Les relais d'information sont des offices de tourisme partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animations ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc. 

Ouvert toute l'année (se renseigner pour les jours et horaires d'ouverture en période hivernale)

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Transport

Accueil - liO Occitanie : les transports de Ma Région (lio-occitanie.fr)
https://www.lio-occitanie.fr/

- Ligne de bus gare de Nîmes - le Vigan - Lanuéjols                   
Ligne de bus quotidienne toute l’année, du lundi au vendredi (sauf WE)
Gare de Nîmes – Pont d’Hérault : Ligne de bus n°140 
Pont d’Hérault – Lanuéjols : Ligne de bus n°108

- Ligne de bus Valleraugue – Gare de Nîmes
Ligne de bus quotidienne toute l’année, du lundi au vendredi (sauf WE)
Valleraugue – Pont d’Hérault : Ligne de bus n°108
Pont d’Hérault – Gare de Nîmes : ligne de bus n°140

Accès routiers et parkings

Accès avec le bus LIO Nîmes / le Vigan / Lanuéjols : lignes 140 puis 108

Stationnement :

Lanuéjols

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Source

CC Causses Aigoual Cévennes Terres Solidaireshttp://www.caussesaigoualcevennes.fr/

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